EXCLUSIF – LE CAMEROUN ET SON ARMÉE DE FILS À PAPA LÂCHE FUI DEVANT BOKO HARAM.

Boko haram – L’armée de Paul Biya fui et abandonne la population aux terroristes de boko haram.
Voici le témoignage d’un journaliste tchadien sur la lâcheté de l’armée de Paul Biya face à boko haram. Texte original transmis tél que reçu :
« GAMBARU « LES SOLDATS CAMEROUNAIS ONT FUI LAISSANT LA POPULATION SE FAIRE MASSACRER ».
Le journaliste explique les détails de l’assaut sur Gambaru, affirmant que les soldats tchadiens ont traversé de force le pont qui mène en territoire nigérian, face aux rafales de tirs d’armes automatiques et snipers embusqués des combattants de Boko Haram.
C’est à ce moment, durant la traversé du pont, qu’il a été touché, avant de s’écrouler.
Des soldats tchadiens.
Le journaliste urbain Janse grièvement blessé
par des éclats de balles à la tête et rapatrié à
N’Djamena a livré un témoignage exclusif à un
journaliste d’Alwihda Info qui l’a rencontré ce
matin à l’hôpital moderne. Le journaliste
explique les détails de l’assaut sur Gambaru,
affirmant que les soldats tchadiens ont traversé
de force le pont qui mène en territoire nigérian,
face aux rafales de tirs d’armes automatiques
et snipers embusqués des combattants de
Boko Haram. C’est à ce moment, durant la
traversé du pont, qu’il a été touché, avant de
s’écrouler.
Il explique avoir été sauvé par les soldats
tchadiens qui l’ont immédiatement mis sous
perfusion et appliquer un bandage sur la tête,
avant de l’évacuer dans une ambulance, en
plein affrontement. Autre fait, le journaliste
explique, preuve à l’appui, que les redoutables
soldats camerounais ont « fui », « laissant les
populations se faire massacrer par Boko Haram ».
Ce qu’un bon nombre d’officiers tchadiens reprochent aux soldats camerounais. Les terroristes ont investi la ville à 4H du matin et ont procédé aux massacres jusqu’à 10 H. Allez comprendre !
Blessé et en attente d’évacuation, un hôpital
de fortune sera improvisé au domicile d’un
citoyen, du côté de la frontière camerounaise.
Le propriétaire des lieux sera assassiné,
quelques heures plus tard après l’évacuation
du journaliste, par des combattants de Boko
Haram.
Abdelwahid Ahmat.»
C’est si facile de se balader en securité à Yaoundé avec des gros grades et de tirer sur des civils alors que la véritable guerre vous dépasse.
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