Le TRIBUNAL ADMINISTRATIF de DOUALA à la solde du MINAT Atanga Nji
- le réseau des défenseurs des droits humains en Afrique central ( REDHAC) a été immatriculé le 22 novembre 2010 après dépôt des statuts à la préfecture du Wouri à Douala
- un recipissé lui a été délivré au nom du réseau d’organisations de défense des droits de l’homme en Afrique centrale ( REDHAC)
- une demande de rectification de l’erreur a été introduite à la préfecture du Wouri sans suite
- le Minat prétend aujourd’hui que le REDHAC ( réseau des défenseurs) n’existe pas et REFUSE de produire les statuts déposés pour son immatriculation en 2010 : le juge administratif approuve . BIZARRE !
- le bureau du REDHAC a évolué de 2010 à nos jours avec une constance , la même personne à sa tête . Mme Ngo Mbe maximilienne, directrice exécutive, de nationalité camerounaise. Le Minat prétend que le REDHAC est dirigé par les étrangers. Le juge administratif approuve. BIZARRE
- la composition des membres du REDHAC est majoritairement camerounaise. Le Minat reçoit annuellement les procès verbaux relatifs au fonctionnement du REDHAC mais , animé de mauvaise foi , prétend le contraire. Le juge administratif, sans permettre au REDHAC d’apporter un démenti, approuve. Bizarre
- le Minat prétend que le REDHAC a reçu des milliards de fcfa pour déstabiliser le système financier camerounais et financer la guerre du NOSO, sans preuve. Le juge administratif, pour éviter de se prononcer, déclare l’action du REDHAC irrecevable.
- le Minat , spécialiste de la manipulation, produit 2 vidéos au soutien des menaces à l’ordre public par le REDHAC. Les vidéos en question ont trait au 3 eme forum du Cameroun Patriotic Diaspora tenu à Munich ( Allemagne) du 26 au 28 juillet 2019 et auquel le REDHAC n’a jamais été convié et n’y a donc pas participé ; me Alice Nkom y étant à titre personnel. Le juge administratif, pour éviter de se prononcer, déclare le REDHAC irrecevable en son action.
Ainsi va le Cameroun.
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